Unmois aprĂšs la catastrophe naturelle qui a frappĂ© le Japon, les enfants de la rĂ©gion dâAl Hoceima qui, en 2004, ont Ă©tĂ© victimes dâun tremblement de terre, ont tenu Ă exprimer leur solidaritĂ©. Ils ont produit des Ćuvres artistiques qui seront acheminĂ©es aux enfants du Japon.
Carle jour de l'Eternel est proche, jour de ténÚbres et d'obscurité. Jour de nuées et de brouillards. Il vient comme l'aurore se repand sur les montagnes." (Joel 2: 1-2) Dans cet article, nous allons aborder et analyser par le rappel d'un exemple historique, le concept du "Jour de l'Eternel", qui est un jour spécifique et spécial que
Vouspourriez ne pas avoir entendu parler du tremblement de terre de Lisbonne en 1755 qui a dĂ©truit la une grande partie de Casablanca. Lisbonne a eu le pire des dommages comme elle Ă©tait une grande ville Ă lâĂ©poque, mais Casablanca et le littoral du Maroc a Ă©normĂ©ment souffert aussi. AprĂšs moins dâune heure de tremblement de terre (estimĂ©e Ă 8,5
DÚsqu'un événement se produit - comme ce fut le cas, par exemple, lors des tremblements de terre d'Algérie en 2003 et du Maroc en 2004 -, les utilisateurs ont pu disposer en un temps record
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Vay Tiá»n Nhanh Ggads. 27/02/2004 - Imzouren est situĂ©e en plein coeur de cette rĂ©gion reculĂ©e des montagnes du Rif qui a Ă©tĂ© touchĂ©e par un grave tremblement de terre dans la nuit du 23 au 24 fĂ©vrier. On attend aujourd'hui l'arrivĂ©e de trois collaborateurs de SOS Villages d'Enfants Ă Imzouren, qui donneront un soutien psychologique aux victimes du sĂ©isme. Sur le plan matĂ©riel, les familles concernĂ©es ont Ă©tĂ© secourues tout de suite aprĂšs la catastrophe. Photo Archives SOS La salle polyvalente et le jardin d'enfants du village d'enfants SOS d'Imzouren, dont les bĂątiments ont rĂ©sistĂ© Ă la secousse, abritent provisoirement les familles qui ont perdu leur toit. A l'Ă©cole SOS Hermann Gmeiner, qui sert Ă©galement d'abri pour le moment, les cours reprendront peut-ĂȘtre dĂšs lundi prochain. Toutefois, il continue Ă y avoir des rĂ©pliques du tremblement de terre, ce qui pourrait retarder le dĂ©but des cours, car les gens ont peur de retourner dans leur maison. Les enfants, les mĂšres et les collaborateurs du village vivent dans un Ă©tat de tension permanente. Les familles logĂ©es au village sont nourries, et les familles sinistrĂ©es du voisinage reçoivent des denrĂ©es alimentaires et d'autres produits nĂ©cessaires au quotidien. Aujourd'hui, on attend l'arrivĂ©e de deux psychologues et d'une assistante sociale de SOS Villages d'Enfants Ă Casablanca, qui devront faire 24 heures de route pour arriver jusqu'Ă Imzouren. Un camion rempli d'articles mis Ă disposition par des entreprises et des donateurs du pays est Ă©galement parti de Casablanca en direction de la rĂ©gion sinistrĂ©e. Photo Archives SOS Au cours des prochains jours, le personnel de SOS Villages d'Enfants tentera d'Ă©valuer les besoins dans les petites localitĂ©s, appelĂ©es "douars", de la rĂ©gion du Rif, oĂč les gens vivent traditionnellement complĂštement Ă l'Ă©cart et sont coupĂ©s de toute aide extĂ©rieure. La population locale critique le retard voire le manque total de secours. Certains habitants attendent en vain de l'aide depuis mardi, les moyens sont insuffisants, et les Ă©quipes de secours ont les plus grandes peines du monde Ă parvenir jusqu'Ă la rĂ©gion sinistrĂ©e.
L'histoire des tremblements de terre au Maroc Le Maroc se trouve sur une rĂ©gion sismique trĂšs activĂ©e. Le Maroc a connu durant son histoire plusieurs tremblements de terre, dont les plus violents ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s en 1755 dĂ©truisant la plupart des villes cĂŽtiĂšres marocaines et en 1960 faisant Ă par ailleurs, une chronologie des grands tremblements de terre au Maroc depuis l'an 881, selon la Grande EncyclopĂ©die du Maroc - Le 28 mai 881, un sĂ©isme effroyable frappe les deux rives du dĂ©troit. - Les 1er et le 30 dĂ©cembre 1079, un sĂ©isme dĂ©vastateur a dĂ©truit tours, minarets et Ă©difices. Plusieurs personnes pĂ©rissent sous les ruines. - En 1276, un violent tremblement de terre provoque la destruction de Larache faisant plusieurs morts. - Le 22 septembre 1522 un sĂ©isme provoque de graves destructions dans la ville de FĂšs et des dĂ©gĂąts Ă TĂ©touan. - Le 26 janvier 1531, un violent sĂ©isme a Ă©tĂ© ressenti au Maroc. - Le tremblement de terre enregistrĂ© le 1er mars 1579 Ă Mellilia a dĂ©truit des dizaines de maisons et une partie du rempart de la ville. - Le 11 mai 1624, un sĂ©isme catastrophique dĂ©truit une grande partie des villes de Taza, FĂšs et MeknĂšs. - Le 5 aoĂ»t 1660, la ville de Mellilia a Ă©tĂ© de nouveau secouĂ©e par un violent sĂ©isme faisant des dĂ©gĂąts matĂ©riels considĂ©rables. - En juillet 1719, les villes cĂŽtiĂšres marocaines ont enregistrĂ© un violent sĂ©isme qui a Ă©galement dĂ©truit une partie de la ville de Marrakech. - Le 27 dĂ©cembre 1722, un sĂ©isme dĂ©vastateur cause de grands dĂ©gĂąts dans les villes cĂŽtiĂšres marocaines. - En 1731, un autre sĂ©isme dĂ©truit la ville de Santa Cruz Agadir. - Les 1er et 18 novembre 1755, le sĂ©isme qui a frappĂ© Lisbonne a dĂ©truit la plupart des villes cĂŽtiĂšres marocaines. - Le 15 avril 1757, un violent sĂ©isme dĂ©truit plusieurs Ă©difices Ă SalĂ©. - Le 12 avril 1773, un violent sĂ©isme dĂ©truit presque complĂštement la ville de Tanger et plusieurs maisons Ă FĂšs se sont effondrĂ©es. Il a Ă©tĂ© Ă©galement ressenti Ă SalĂ©. - Le 31 aoĂ»t 1792, Mellilia est de nouveau secouĂ©e par un violent tremblement de terre causant la destruction de plusieurs Ă©difices. - Le 11 fĂ©vrier 1848, un tremblement de terre dĂ©sastreux a Ă©tĂ© ressenti au Maroc provoquant de grands dĂ©gĂąts Ă Mellilia. - Les 21 et 22 janvier 1909, un sĂ©isme dĂ©truit les douars de Ghomara 5 Km de TĂ©touan et fait cent victimes entre morts et blessĂ©s. - Le 4 janvier 1929, un tremblement de terre cause des dĂ©gĂąts Ă Outat El Haj et FĂšs. - Le 29 fĂ©vrier 1960, un sĂ©isme dĂ©vastateur d'une magnitude de 5,7 degrĂ© sur l'Ă©chelle ouverte de Richter, a dĂ©truit la ville d'Agadir faisant morts et des dĂ©gats matĂ©riels estimĂ©s Ă l'Ă©poque Ă 290 millions de dollars. - Le 28 fĂ©vrier 1969, un violent sĂ©isme qui avait son Ă©picentre dans la mĂȘme rĂ©gion que celui de 1755 Lisbonne, a Ă©tĂ© ressenti dans presque tout le Maroc, mais c'est sur le Littoral Atlantique que ce sĂ©isme a atteint sa plus forte intensitĂ©. Le bilan a Ă©tĂ© d'une dizaine de morts et 200 blessĂ©s. Le territoire marocain appartient au plissement alpin et occupe une position charniĂšre, lieu d'interactions et collusions rĂ©sultats des rapprochements entre les plaques africaines et eurasiennes. Les chaĂźnes du haut Atlas, du Moyen Atlas et du Rif sont considĂ©rĂ©es comme les rĂ©gions sismotectoniques les plus actives du nord-ouest de l'Afrique. All Africa
Une secousse tellurique dâune magnitude de 4,4 degrĂ©s sur lâĂ©chelle de Richter a Ă©tĂ© enregistrĂ©e samedi au large de Driouch, indique lâInstitut national de gĂ©ophysique ING. La secousse, dont lâĂ©picentre est situĂ© au large de Driouch, sâest produite Ă 13H13min01sec GMT+1, prĂ©cise le RĂ©seau national de surveillance et dâalerte sismique de lâING dans un bulletin dâalerte sismique. La secousse ressentie est dâune profondeur de 24 km, dâune latitude de 35,461°N et dâune longitude de 3,840°W, ajoute la mĂȘme source. avec MAP Rejoignez et recevez nos newsletters Bouton retour en haut de la page
Un violent sĂ©isme de magnitude 7,1 a frappĂ© mercredi une rĂ©gion montagneuse du nord des Philippines, semant la panique parmi les habitants et faisant trembler les immeubles jusque dans la capitale Manille. Selon lâInstitut sismologique amĂ©ricain USGS, la secousse a Ă©tĂ© enregistrĂ©e Ă 08H43 locales 00H43 GMT, Ă une profondeur de 10 km dans la province dâAbra, sur lâĂźle principale de Luzon. Dans la ville de Dolores, situĂ©e tout prĂšs de lâĂ©picentre, des habitants terrifiĂ©s ont couru hors de chez eux et les vitres du marchĂ© local ont volĂ© en Ă©clats, a racontĂ© Ă lâAFP le commandant de la police locale Edwin Sergio. Le tremblement de terre Ă©tait trĂšs fort », a dĂ©clarĂ© M. Sergio. Les tables de fruits et lĂ©gumes sur le marchĂ© ont Ă©tĂ© renversĂ©es », a-t-il poursuivi, ajoutant que des fissures Ă©taient apparues sur les murs du commissariat. Un autre commandant de la police, Nazareno Emia, a indiquĂ© Ă lâAFP que plusieurs blessĂ©s avaient Ă©tĂ© conduits Ă lâhĂŽpital. Une vidĂ©o publiĂ©e sur Facebook et vĂ©rifiĂ©e par lâAFP a Ă©galement montrĂ© des fissures sur une route goudronnĂ©e et le sol dans la ville de Bangued, mais aucun dĂ©gĂąt visible sur les magasins ou les maisons. â Ressenti Ă 300 km â Mira Zapata, un Ă©tudiant, a racontĂ© quâil se trouvait dans sa maison de la ville de San Juan quand il a ressenti une trĂšs forte secousse ». On sâest mis Ă crier et on sâest prĂ©cipitĂ©s dehors », a-t-il dit, alors que les rĂ©pliques se poursuivaient. Notre maison est en bon Ă©tat mais celles en bas de la colline ont Ă©tĂ© endommagĂ©es », a poursuivi ce tĂ©moin. Les gratte-ciels ont tremblĂ© jusque dans la capitale Manille, situĂ©e Ă plus de 300 km au sud. Les Philippines sont rĂ©guliĂšrement frappĂ©es par des sĂ©ismes en raison de leur position sur la Ceinture de feu », un arc dâactivitĂ© sismique intense qui entoure lâocĂ©an Pacifique en passant par le Japon et lâAsie du Sud-est. Le tremblement de terre de mercredi est le plus puissant dans le pays depuis des annĂ©es. En octobre 2013, un sĂ©isme de magnitude 7,1 sur lâĂźle de Bohol, dans le centre du pays, avait fait plus de 200 morts et dĂ©placĂ©s. La secousse avait dĂ©clenchĂ© des glissements de terrain catastrophiques. Des dizaines de milliers de maisons ainsi que des Ă©glises historiques datant du dĂ©but du catholicisme aux Philippines avaient Ă©tĂ© dĂ©truites. Ce puissant sĂ©isme avait modifiĂ© le paysage de lâĂźle et provoquĂ© une spectaculaire rupture de terrain », faisant remonter une partie du sol de jusquâĂ trois mĂštres et crĂ©ant un mur de roche au-dessus de lâĂ©picentre. En 1990, un tremblement de terre de magnitude 7,8 dans le nord des Philippines avait fait plus de morts, provoquĂ© dâimportants dĂ©gĂąts Ă Manille ainsi quâune rupture du terrain sur plus de cent kilomĂštres.
Kindia, 04 mai AGP-Les habitants de la sous-prĂ©fecture de Bangouya, dans la prĂ©fecture de Kindia, assistent depuis le mois de janvier 2021, Ă une sĂ©rie de tremblements de terre dans leur localitĂ©. Ce mardi 04 Mai Ă 7 h 04 mn, la terre a de nouveaux tremblĂ©. Les secousses ont Ă©tĂ© cette fois-ci ressenties jusque dans les pĂ©riphĂ©ries de la commune urbaine de Kindia notamment dans les districts de Khaliakory, Walangni dans la sous-prĂ©fecture de Damakaniah. Il nâa pas eu de dĂ©gĂąt, mais lâinquiĂ©tude gagne les citoyens. Le sous-prĂ©fet de Bangouya, Ousmane Adjib TourĂ©, joint au tĂ©lĂ©phone par notre correspondant rĂ©gional, a dĂ©crit lâatmosphĂšre qui rĂšgne dans la localitĂ© Ce matin Ă 7 h 04 mn, la population de Bangouya a Ă©tĂ© secouĂ©e par un tremblement de terre qui devient âperpĂ©tuelââ. Le bĂątiment de la sous-prĂ©fecture a senti les secousses. Jâai reçu des appels un peu partout notamment ceux qui sont proches de lâĂ©picentre comme Baren khatia, TenĂš Warkhalan, Lamban Foula. Nous sommes vraiment trĂšs inquiets, mĂȘme aprĂšs le passage dâune mission des scientifiques, la terre continue Ă trembler, on ne sait pas la cause. Jâai alertĂ© le prĂ©fet pour lâexpliquer. Les citoyens sâalarment. Nous mĂȘme on nâa pas dâexplication Ă leur donner. Câest devenu notre quotidien. On craint le pire parce que la magnitude devient de plus en plus forte. Le cas dâaujourdâhui Ă©tait un peu fort. Il nây a pas eu de dĂ©gĂąts mais nous avons eu trĂšs peur. Nous demandons Ă lâEtat de voir cette situation », a lancĂ© le sous-prĂ©fet de Bangouya.
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